Focus Santé
Focus Santé
S’occuper de sa santé est devenu essentiel aujourd’hui car si on est malade, on est dépendant des autres, mais on est aussi affecté physiquement, psychologiquement, émotionnellement et financièrement.
La bonne santé pour tous est une nécessité absolue pour ces raisons !
Notre santé en quelques mots et chiffres
Les statistiques ne mentent pas ! Nous vivons de plus en plus vieux et nous subissons de plus en plus de maladies. C’est un constat accablant pour les pays développés !
Nous devons rechercher un nouveau modèle de santé et celui-ci passe d’abord et obligatoirement par la prévention. Le modèle de santé français plébiscité par l’OMS au début des années 2000 s’est dégradé au bout de quinze ans. Cancers et diabètes, considérés comme maladies chroniques, croissent de manière exponentielle. L’environnement, la pollution, l’alimentation, l’habillement et notre mode de vie en général sont mis en cause à un point tel que nous considérons être dans des situations d’épidémies modernes. Parallèlement, se soigner devient très cher et les inégalités face aux frais de soins deviennent alarmantes.
L’augmentation des dépenses de santé et de son efficacité est remise en cause. Il représente un budget de plus de 200 milliards d’euros soit près de 13% de notre PIB. C’est énorme ! Il est grand temps de prévenir plutôt que de vouloir uniquement se guérir !
Notre système de santé est basé sur la réparation avec une logique plutôt curative que par la prévention. L’explosion des coûts de santé, les erreurs médicales de plus en plus répandues et les technologies médicales coûteuses, nous obligent à revoir notre manière d’aborder les problèmes de santé. Sur le long terme, ce modèle de soin est voué à l’échec. Si nous ne changeons pas de modèle de santé, nous continuerons à dépenser de l’argent pour un résultat de soin médiocre voire nul dans pas mal de cas. Il est donc nécessaire de se préoccuper des causes des maladies et non uniquement de leurs effets.
La prévention efficace conditionnera l’avenir de notre système de santé et les soins que chacun pourra recevoir. Récemment notre Ministre de la santé a déclaré que le 21ème siècle sera le siècle de la prévention. C’est une déclaration de bonne augure pour Wellsanté et ses préconisations en matière de prévention qu’elle étudie depuis fort longtemps. La santé est un sujet politique majeur que nul ne peut ignorer. Chacun de nous doit prendre pleinement ses responsabilités à ce sujet pour qu’une conscience collective se dessine autour de la prévention et que nous puissions redevenir maître de notre destin santé.
L’espérance de vie d’un homme en France est de 79 ans et d’une femme est de 85 ans soit près de seize ans de plus qu’en 1950. L’amélioration des conditions de travail et de la vie en général et une alimentation abondante couplée à des progrès médicaux et un système de santé performant au profit du plus grand nombre ont permis ce progrès.
Cependant nous constatons que depuis une dizaine d’années, l’état de santé des français se dégrade. Le monde des pays développés n’est pas en reste, les grandes tendances des maladies sont les mêmes et suivent une courbe étonnamment ressemblante. On a longtemps attribué à tort, ce constat, à une nouvelle situation de vieillissement plus important de la population. On découvre que cet argument n’est pas la seule cause. Les maladies chroniques comme les tumeurs, maladies cardio-vasculaires, diabète, hypercholestérolémie, arthrose, troubles musculo-squelettiques augmentent de manière considérable en France tout comme dans les pays de l’OCDE. Près de 15 millions de personnes seront atteintes d’une affection longue durée (ALD) selon les projections de l’assurance maladie. Diverses causes sont à l’origine de cette dégradation.
♦ Tabagisme : près de 80000 morts/an.
♦ Alcool : près de 50000 morts/an.
♦ Pesticides : non chiffrés, responsable de 70% des tumeurs reconnues chez les agriculteurs. Hausse des cancers chez l’enfant (2000 cas par an/moyenne selon OMS).
♦ Pollution de l’air : 30000/an morts à cause des microparticules/maladies respiratoires indirectement.
♦ Perturbateurs endocriniens : non chiffrés, présents dans les additifs pour plastiques, textiles, cosmétiques, solvants, boissons, produits alimentaires, entretiens, bricolage, jardinage, affecteraient l’équilibre hormonal et provoqueraient un déclin de fertilité, augmentation des cancers et troubles neuropsychiques.
♦ Obèses en France (15%) : 7 millions en 2012 contre 3,5 millions en 1997
Ces chiffres comparés aux 3388 morts accidentés de la route en 2014 sont très parlants. Ces morts passent sous silence alors que les morts sur la route sont nets et quantifiables immédiatement. Pourtant les statistiques hospitalières sont disponibles et accessibles pour une analyse fine.
Ces chiffres ne sont "pas à la hauteur des objectifs que nous nous étions fixés", a déclaré le ministre de l’intérieur, qui "maintient" l'objectif, fixé l'an dernier, de faire baisser à 2 000 le nombre de morts sur les routes en 2020. "2014 n'est pas aussi sombre qu'on pourrait le croire dans la mesure où c'est la deuxième moins mauvaise année" depuis que des statistiques sont établies, a souligné le ministre. Il faut espérer que le ministre de la santé ait le même reflexe de stratégie quant aux morts dus aux problèmes de santé évoqués au-dessus.
Les maladies cardiovasculaires et diabète sont en forte augmentation en France. L’environnement nouveau du travail et du stress qui l’accompagne a créé de nouvelles maladies.(ex : troubles musculo-squelettiques).
L’Organisation mondiale de la santé déclare qu’une personne est en surpoids si son IMC (indice de masse corporelle) est égal ou supérieur à 25. Elle est obèse lorsque cet indice est égal ou supérieur à 30. Le nombre de personnes obèses en France a été multiplié par deux en quinze ans tout comme dans les pays de l’OCDE. IMC = poids/la taille au carré.
Les maladies chroniques explosent : trente affections de longue durée (ALD) sont recensées par l’assurance maladie dont les soins sont pris en charge à 100%. De 700000 cas environ en 1997, on est passé à 1 200 000 cas en 2012.
L’environnement commence à affecter gravement la santé
La vie moderne qui nous pousse à utiliser des substances chimiques au quotidien est la principale cause. Nous ne faisons pas attention à cet aspect de la santé publique car notre esprit est ailleurs.
Mauvaise qualité de l’air, de l’eau, mauvaise hygiène alimentaire contribuent à dégrader notre santé tous les jours. Aujourd’hui, 11 millions de personnes en sont affectées par l’ALD selon l’assurance maladie.
Une alimentation riche et une vie sédentaire sont une vraie bombe à retardement pour la santé. Déjà 4,4% de la population française souffre de diabète contre 8,9% aux USA. 15% de la population est obèse en France contre 33,3% aux USA. Nous suivons indubitablement le même chemin que les Américains.
Les soins du diabète coûtent à eux seuls 14 milliards d’euros en France à la Sécurité Sociale. (Prix deux fois plus élevé qu’en 2000). L’OMS via le Dr Margaret Chan, directrice générale, signale que les maladies chroniques coûteront à l’économie mondiale plus de 30000 milliards de dollars par an au cours des vingt prochaines années soit 48% du PIB mondial de 2010. Elle propose qu’une diminution du sel dans les aliments transformés serait efficace et peu coûteux parmi les solutions envisageables. Elle préconise la mise en place d’une vraie politique d’éducation en matière de prévention. Ce qui implique un changement culturel profond sur le paradigme établi qui prône actuellement du tout curatif pour la santé.
L’alimentation industrielle et cosmétique de synthèse, une vraie catastrophe cachée !
Nous sommes dans une ère alimentaire et des cosmétiques de synthèse que Wellsanté qualifie de « Slow Poisoning » qui se traduit par un « Empoisonnement Lent » au quotidien que nous constatons dans les pays dits « développés ». Nous sommes tous responsables de cet état de fait. Nous, en tant que consommateurs, n’avons jamais réellement posé les questions utiles qui nous imposent sur la qualité alimentaire dans le sens « nutritionnel » du terme, des aliments transformés, que nous consommons tous les jours. Cette confiance aveugle nous coûte cher. Il y a tromperie sur les « marchandises alimentaires ». Les pouvoirs publics quand ils n’arrivent plus à contrôler la situation, préfèrent fermer les yeux en laissant la responsabilité aux fabricants. Cette situation ne peut perdurer. C’est calamiteux pour les pays développés, alors que nous disposons tout le savoir-faire nécessaire pour déceler les problèmes liés aux carences nutritionnelles. C’est un état de fait inadmissible !
Si nul n’est sensé ignorer la loi, nul n’est sensé ignorer la bonne nutrition sous peine de se retrouver malade, voire mourir à cause des facteurs que nous aurions pu maîtriser. La cosmétique artificielle n’est pas en reste. Elle pénètre la peau et la nourrit. Certains produits de synthèse utilisés dans la formulation des cosmétiques de masse aux formulations chimiques utilisant certains ingrédients de synthèse sont dangereux pour la santé (ex : les Dibutyl phthalates, BHA et BHT, colorants dérivés du goudron de houille comme P-Phenylenediamine, libérateurs de formaldéhyde, les Parabènes, Les PEG etc.).
Notre empoisonnement lent au quotidien est dénoncé par deux auteurs français dans leur livre que nous considérons comme « très sérieux » dont les titres sont respectivement « Notre Poison Quotidien » dont l’auteure est Marie-Monique ROBIN (Arte Editions) et Le Livre Noir de l’Agriculture d’Isabelle SAPORTA (Editions FAYARD).
Ensemble, nous devons prendre nos responsabilités et essayer très vite de corriger cette situation. Wellsanté ne peut rester spectateur et va œuvrer dans ce sens avec l’aide précieuse de nos amis clients et de nos bienfaiteurs.
Heureusement pour nous, tous les produits alimentaires et tous les fabricants de l’industrie agro-alimentaire ne sont pas coupables et parmi ces industriels, un certain nombre lutte pour offrir des produits de qualité. Malheureusement, il s’agit d’une vraie minorité minuscule en France.
Les produits BIO sont une solution fiable et intéressante. Ils restent une alternative valable et efficace contre les dérives d’une agriculture industrielle et intensive n’utilisant que les engrais chimiques.
Chiffres du paysage BIO en France
1 118 190 ha étaient engagés en bio fin 2014, soit une augmentation de 5,4 % par rapport à 2013.Pour l’ensemble des productions, la part en bio continue de progresser permettant d’atteindre 4,14 % de la SAU nationale cultivée selon le mode biologique.
Les surfaces certifiées bio ont progressé de 4 % entre 2014 et 2013 pour atteindre 970 159 ha. En 2014, avec 148 000 ha, les surfaces en conversion se situent au même niveau qu’en 2009. Avec 77 731 ha, les surfaces en première année de conversion ont augmenté de +36 % en 2014 par rapport à l’année précédente. 48 052 ha étaient en conversion dont plus de 66 000 ha en dernière année de conversion. Pour mémoire, les surfaces en conversion s’élevaient à 151 868 ha en 2009.
Agriculture biologique : 5,5% des surfaces agricoles utiles en 2015 est difficilement atteignables
Si les intentions de conversion recensées par le ministère de l'Agriculture laissent envisager un doublement des surfaces en bio d'ici 2015, les objectifs du Grenelle pour cette filière semblent être difficilement atteignables.
Si ce doublement des surfaces bio semble remarquable, les objectifs du Grenelle de l'environnement seront difficilement atteignables. Le Gouvernement visait en effet les 6% de SAU en AB en 2012 et 20% en 2020. Avec environ 845 milliers d'hectares en 2010, la part de la SAU en AB en France (autour de 3,1%) s'avère plus faible que la moyenne communautaire (estimée à 5,1%) selon Eurostat et l'Agence Bio. Source : http://www.actu-environnement.com/ae/news/agriculture-biologique-cinq-pourcent-surfaces-agricoles-utiles-2015-16917.php4
Pour conclure sur la filière BIO, les offres d’aliments BIO en France restent encore chères par rapport aux aliments dits « classiques ». L’objectif d’atteindre une surface agricole BIO représentant 20% du SAU (surface agricole utile) en 2020 reste donc très ambitieux et inatteignable dans un délai raisonnable. Il faut suivre une autre voie en même temps qu’une stratégie de poursuivre la culture BIO.
Nos habitudes alimentaires hors BIO ont évolué et certains aliments transformés prêts à être consommés sont à l’origine de bien des maladies chroniques comme l’obésité, l’inflammation chronique (arthrite, maladies de Crohn, maladies auto-immunes), le diabète, l’hypercholestérolémie etc.
80% des achats alimentaires sont composés de produits transformés, bon marché et demandant peu de préparation, mais la qualité n’est pas toujours au rendez-vous. La profusion de nourriture est offerte au détriment de la qualité. L’industrie agro-alimentaire utilise divers ingrédients artificiels, colorants, conservateurs et additifs pour transformer les aliments et limiter les coûts de production. Les graisses saturées, les sucres et le sel sont largement utilisés car ils sont peu chers et apportent du goût. Aujourd’hui 40% des calories disponibles à la consommation sont d’origine lipidique dont la quasi totalité sont des graisses saturées, contre seulement 30% en 1960. Ce qui a comme incidence d’augmenter le nombre de personnes atteintes de diabète ou d’obésité ou encore une augmentation de surpoids chez les jeunes adolescents et adultes.
Dr Dominique Rueff, nutritionniste et cancérologue, auteur de nombreux ouvrages sur les liens entre vieillissement et nutrition nous dit « Même si une alimentation saine et variée est indispensable à la santé, une supplémentation est tout de même souvent nécessaire aujourd’hui, car les fruits et légumes poussés à la va-vite et cueillis avant maturité sont beaucoup plus pauvres en vitamines et en nutriments essentiels qu’ils ne l’étaient par le passé. Et malgré les injonctions gouvernementales qui défilent sous les publicités télévisées, tout le monde n’en ingurgite pas suffisamment. « Les vraies carences nutritionnelles sont rares dans notre pays, mais la majorité de la population présente néanmoins des déficiences chroniques multiples qui constituent un réel danger dans la mesure où elles sont sources de fatigue et favorisent à long terme, l’apparition des maladies cardio-vasculaires (dont le diabète et excès de cholestérol), de certains cancers et de problèmes neuropsychiatriques tels que la maladie d’Alzheimer ».
Dr Jean-Michel Lecerf, chef du service nutrition de l’Institut Pasteur de Lille est du même avis : les déficits d’apports, inférieurs aux recommandations nutritionnelles conseillées (les fameux ANC devenus VNR (Valeur Nutritionnelles Recommandées), sont fréquents dans les Etats développés comme le nôtre, notamment en vitamines, en bêta carotène, en zinc et en sélénium…etc. En outre, notre mode de vie moderne (stress excessifs, absence de pratique sportive ou à l’inverse activité physique mal gérée) concourt a des déséquilibres répétés qui épuisent nos réserves et dépassent nos capacités de défense naturelle souligne t-il. Sans compter la profusion des pathologies digestives qui entravent l’absorption optimale de certains nutriments et la recrudescence des cas d’intolérance alimentaire, qui exclut certains aliments de l’assiette.
Les consommateurs sont souverains ! De qui se moquent-on ? Ont-ils vraiment le choix de se procurer un produit alimentaire de qualité acceptable à un prix abordable ? Là, il faut être honnête, c’est mission difficile !
Le discours moralisateur et responsabilisant à l’égard des citoyens n’est pas la seule politique pour faire changer les habitudes alimentaires. Les consommateurs n’ont souvent pas le savoir, le temps, les moyens ou la disponibilité ou même l’envie de respecter quotidiennement les recommandations nutritionnelles de santé. L’exemple flagrant et le fameux « Manger cinq fruits et légumes par jour ». C’est un discours en perte de vitesse qui n’a servi de prétexte peut être pour faire augmenter le prix des fruits et des légumes.
La publicité trompeuse continue à nous mentir quant à la qualité intrinsèque d’un produit alimentaire transformé, même auprès d’une catégorie socioprofessionnelle avertie.
On peut interdire la publicité pour les produits alimentaires gras ou sucrés. On peut tenter de catégoriser les produits comme « sains » ou « nocifs», « bon » ou « mauvais ». On peut réglementer la présentation et étiquetage des aliments en grandes surfaces et surtout inciter les industriels à améliorer la qualité de leur offre en instaurant des normes obligatoires. On peut dénoncer et limiter les produits contenant des ingrédients douteux ou néfastes.
Et tout cela est possible et faisable pour demain rapidement…..? Chez Wellsanté, nous en doutons fort. Il faudra des années pour changer les mauvaises habitudes prises depuis les champs cultivés jusqu’à notre assiette. En attendant, il faut prévenir. La mission de Wellsanté est de vous apporter tout notre savoir-faire pour pallier ces fautes nutritionnelles intentionnelles ou pas.
Le changement doit être d’abord opéré sur soi. Quand nous changerons nous-mêmes pour le meilleur, les autres changeront obligatoirement. C’est une loi universelle. Et Wellsanté compte sur vous et cette loi universelle pour opérer ce changement nutritionnel obligatoirement nécessaire pour le plus grand bien de nous tous.
Dans certains cas et sous réserve d’un avis médical approprié en cas de maladie connue, les compléments alimentaires, les super aliments ou les médicaments issu de la phytothérapie peuvent, soit remplacer certains médicaments chimiques de synthèse ou peut être délivré pour accompagner ces médicaments.
Nous nous empoisonnons aussi par la prise de médicaments de synthèse à outrance et parfois non nécessaire.
De plus, les effets indésirables de certains médicaments de synthèse chimique sont connus de nos jours et reconnus par les autorités publiques comme l’ANSM (Agence nationale pour la sécurité des médicaments) grâce à la pharmacovigilance ou les découvertes faites par les médecins ou les patients eux-mêmes. (Ex : Scandale Médiator-Servier). Certains somnifères de synthèse sont considérés comme des possibles précurseurs de la maladie d’Alzheimer, certains médicaments peuvent provoquer la maladie de Parkinson, cancer etc.
La liste est longue et nous découvrons tous les jours quelque chose de nouveau à ce sujet… Il suffit de regarder la liste des médicaments mis sous surveillance par l’ANSM pour nous en rendre compte. Aujourd’hui près de 30% des français sont adeptes de la phytopharmacie (source : ordre des pharmaciens) et ce nombre est de plus en plus croissant pour les raisons de la sécurité d’emploi de produits à base de plantes (médicine douce) et l’absence d’effets secondaires notoires ou nuls pour la plus grande majorité des plantes médicinales connues et reconnues en Europe. Certains produits de la phytothérapie ont également démontré leurs capacités de soins efficaces au fil du temps.
Deux médecins français dénoncent la consommation de médicaments à outrance dont ils rédigent une liste des médicaments inutiles. Manque de confraternité, manque de déontologie. C'est ce qu'a retenu la chambre disciplinaire de l'ordre des médecins d'Ile-de-France, qui a condamné les médiatiques professeurs Philippe Even et Bernard Debré à un an d'interdiction d'exercer la médecine, dont six mois avec sursis. Une information révélée par Europe 1. En cause : leur Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux, sorti en 2012, à la suite du scandale du Mediator, et qui s'est vendu à 200 000 exemplaires.
Il ne s’agit pas de condamner l’industrie pharmaceutique ou les médicaments prescrits par la médicine moderne indispensables à la santé. Il s’agit de contrôler leur emploi utile et réel. Certains médicaments ont tout à fait leur place dans notre vie et il faut le rappeler, que certains médicaments de synthèse sont indispensables et peut sauver une vie en l’absence d’une solution rapide, alternative, fiable et cliniquement avérée.
Dans ce registre, prenons par exemple, le cas des statines. Ses effets secondaires indésirables sont connus et reconnus par le corps médical. Ils ne sont pas indispensables pour la petite hypercholestérolémie sauf avis médical contraire. Mais, il y des cas où les statines peuvent s’avérer la seule solution cliniquement valable. C’est le cas d’une hypercholestérolémie d’origine génétique qui génère un taux de cholestérol très élevé dans le sang à cause d’un dysfonctionnement du foie. Sans les statines les artères seront très vite bouchées avec des dangers cardiovasculaires certains. Il s’agit ici d’une bonne utilisation des statines faute de solution alternative fiable.
Il faut donc faire converger les intérêts de chaque système de santé et bien étudier l’utilité des uns et des autres pour apporter la meilleure solution possible dans leur emploi, individuellement ou collectivement, pour chaque situation de santé qui se présente et dans le seul et unique intérêt de la personne/patient concerné.
La Suisse est un pays européen « modèle » dans ce sens où leur industrie pharmaceutique très puissante cohabite utilement avec toute une industrie de soins naturels importants qui sont remboursés par la Sécurité Sociale Suisse au même titre que les médicaments de synthèse à la condition qu’ils apportent une efficacité réelle au patient.
Souhaitons-nous qu’ici, en France, ensemble, nous puissions réécrire une nouvelle page d’histoire pour la réalisation d’un nouveau mode de vivre-santé que Wellsanté tout comme d’autres experts dans le domaine de la santé naturelle puissent mettre en œuvre grâce à vous !